Notizen zu dieser Person
Il eut pour parrains le docteur Jean Probst et Mde. Sybille Didier, belle-mère de Michel Francois Joseph Müller.
Jean Louis, l'aîné des enfants Müller-Didier, ayant tiré un mauvais numéro lors de la conscription de 1809, son père n'eut de cesse avant d'avoir trouvé un remplacant en la personne de Jean Ziggle de Larochette. Celui-ci était déjà transféné an Allemagne lorsque M.F.j.Müller apprit qu'a la suite des nouvelles conscriptions Zigolé venait d'être appelé sous les armes, à titrepersonelles. Le père consterné trouva bien un second remplacant mais non sans accroître les dettees déjà contractées. Comme il ne gagnait que 800 livres et qu'il tenait à gander son rangtout en refusant d'avoir recouns à des manoeuvres indignes d'un magistrat, il dut se résigner à vendre des terres qu'il possédait à Trèves, sule réserve envisagée pour ses vieux jours.
En 1810 M.F.J.Müller eut la chance de pouvoir caser son fils en qualité de surnuméraire auprés du sieur "Fourner", contrôleur principal des Droits réunis à Echternach. Mais au cours du mois de mai de l'anée 1813 M.F.J.Müller recut la protification que son fils serait enrôlé dans la garde d'honneur créec par décret impérial du 05.04.1813. Le père se rendit à différentes reprises à Luxembourg auprés du préfet pour tâcher de libérer Jean Louis qui venait de recevoir sa nomination de commis avec résidence à St-Omer, par commision et ordre de l'administration générale des Droites réunis de Paris.
M.F.J.Müller ne marqua pas d'invoguer les dépenses faites dans l'intêrêt de son fils: payement de deux remplacants et cautionnement pour la place d'employé des Droits réunis - rien n'y fit. En juillet Jean Louis partit pour Metz avec son compatriot "Bernard Lamock" après que son père cut encore pris à sa charge trente douis d'or pour frais divers. La formation de Jean Louis(2.régiment, 9.compagnie, 2.escouade) fut transférée de 25 aoùt à Thionville où notre militaire recut encore la visite de son frère Guillaume Joseph, porteur des dernières reconmandations de la famille, puis elle partit le 04.septembre via Hombourg, Kaiserslautern à Mayence. D'ici elle rejoignit la Grande Amnée. A l'arrivée des Alliés en France, Jean Louis Müller se ttrouvait à Rambouillet d'où il partit le 25.05.1814, deux jours aprés il quitta Versailles pour arriver le 3 juin à Luxembourg. Le même jour il ré..tégra son dimicile d'Echternach muni de safeuille de congé absolu et décoré de la fleur de lys en argent.
Seilon les dires de Mme Fliegelskamp-Baldauff, l'aine des trois enfants (Jean Louis), habitat Soleuvre. Pendant l'epoque révolutionnaire il prit fait et cause pour le baron de TORNACO. D'après une de nos sources il dut se cacher avec sa famille dans les caves du château de Sanem, d'après und autre ce fut TORNACO qui chercha reguge auprès des Müller. Jean Louis alla plus tand habiter Echternach où il deumerait dans la belle maison de "Seyl", face à l'habitation de son gendre, le notair J.E.Baldauff (aujourd'hui demaitre du docteur Felix Schmit). Il portait letitre de Recerveur de l'enregistrement de première classe à cheval. D'après notre source la famille Müller possédait encore il y a 100 ans le domaine vinicole de Koenen, ainsi que la ferme "Diesbourg" près de Ferschweiler.
Urs
Berger
